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Le stage doit permettre aux participants de :
• comprendre les notions essentielles de luttes informatiques,
• appréhender les mécanismes d’influence par lutte informatique, avec une insistance sur les facteurs humains,
• situer le rôle des réseaux sociaux dans ces nouvelles luttes,
• sensibiliser aux risques, mais aussi aux opportunités que présentent les réseaux sociaux lors de manoeuvres de lutte informatique.

Le stage dure 3 jours (18 heures)
Il se divise en quatre parties :

• Les nouvelles doctrines et pratiques de lutte informatique envisagées sous l’angle des facteurs humains.
• L’influence contemporaine sur et via les réseaux sociaux
• Les risques et opportunités associés
• Les solutions techniques et algorithmiques

L’ensemble est illustré par des cas concrets tout au long du stage.

Ce stage aborde deux thèmes majeurs entremêlés : les luttes informatiques contemporaines et les réseaux sociaux, dans le cadre français de la cyberdéfense.
Il s’agit en particulier de mieux appréhender les aspects humains inscrits dans les luttes offensives et défensives, tels qu’ils se manifestent sur les réseaux sociaux, sans négliger les aspects techniques associés aux aspects humains.
L’accent est mis sur la lutte informatique d’influence, nouvelle fonction stratégique, telle qu’elle se mène via les réseaux.
Plusieurs cas concrets engageant la défense et la sécurité nationales sont détaillés et touchent l’actualité immédiate.

Ce stage s’adresse principalement à des ingénieurs et opérationnels centrés sur la cybersécurité ou le management de l’information. Les analystes des services de renseignement d’origine sources ouvertes sont en particulier concernés.

Philippe CAPET
Ingénieur de recherche à EKTIMO, ancien élève de l’École polytechnique, master 2 de sciences cognitives, docteur en philosophie

Thomas DELAVALLADE
Ingénieur chez THALES, ancien élève de l’École Nationale Supérieure des Télécom de Paris, docteur en informatique, spécialisé en intelligence artificielle (Paris VI)